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Début du XXè siècle, quelque part en Europe centrale. La jeune Ada vit seule avec son père, un bûcheron aussi rustre qu'autoritaire. Le talent et la curiosité de la fillette pour la peinture ne font qu'attiser la colère et le mépris du père. Consciente que l'affrontement n'est pas une option, Ada fait mine de se soumettre à l'autorité paternelle, pour mieux, secrètement, s'adonner à sa passion. Pour autant, l'orage se prépare au loin et il sera difficile d'y échapper.
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Après le fabuleux Nippon Folklore, Elisa Menini nous revient avec un nouveau recueil tout aussi époustouflant.Un jeu antique de la période Edo (1603-1868) inventé, dit-on, par des samouraïs comme épreuve de courage, veut que, dans une pièce, en pleine nuit, on allume autant de bougies que de participants au jeu.Chacun, à tour de rôle, raconte une histoire de fantômes, et à la fin du récit, il éteint une bougie. La pièce se fait plus sombre au fur et à mesure que le jeu progresse. à la fin, lorsque s'éteint la dernière bougie, apparaît un yokai, esprit puissant, parfois bienveillant, parfois moins! Orques, diables, arbres parlants, araignées, dragons et autres chats magiques peuplent ces histoires qui proviennent tout droit de la tradition et des légendes japonaises.
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« Giacomo est l'un des auteurs de bande dessinée vivant les plus intelligents et les plus talentueux. Il est aussi l'un des rares que j'envie » GIPI.
Dans ce récit choral, Giacomo Nanni, par la virtuosité d'une écriture hypnotique et d'un dessin pointilliste aussi précis qu'envoûtant, nous parle de la Terre, des hommes, et de leur impitoyable rapport de force.
Fascinant.
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Recueil de sept mythes et le´gendes du folklore japonais, Nippon Folklore rassemble des histoires d'animaux, d'hommes et de me´tamorphoses. Ainsi, «Le Chat aux trois couleurs» raconte l'histoire d'un couple de vieillards dont le chat dévoile de fascinants pouvoirs. «Le Chapeau de paille» relate le supplice que le sort réserve à un homme qui s'est saoule´ au sake´. «Momotaro» retrace le destin d'un homme envoye´ par les dieux pour de´truire les orques d'Onigashima...
Couleurs, ambiances et re´fe´rences : tout ici e´voque l'art graphique du Japon des anne´es 1800, réinterprété dans un style synthe´tique, contemporain et tre`s personnel, qui lorgne du co^te´ du manga.
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C'est l'histoire d'un homme, jeune, qui se nourrit d'un croissant par jour. Simplement parce qu'il n'arrive pas à joindre les deux bouts. Demain, il sait qu'il dépassera son découvert autorisé de 400 euros à la banque. Il cherche une solution à ce problème. Ce faisant, il déambule dans la ville, occasion de réflexions, de rêveries, de souvenirs, mais aussi de rencontres. L'histoire est partagée en trois jours: aujourd'hui, hier, avant-hier.
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A Paris, une corneille est témoin d'un attentat terroriste. Se remémorant l'anecdote selon laquelle Rod Taylor, l'acteur principal des Oiseaux d'Hitchcock, aurait durant tout le tournage été harcelé par l'une des corneilles utilisées pour le film, Giacomo Nanni part du postulat selon lequel l'animal est capable didentifier et de se souvenir des visages humains. De là, il imagine l'une delles en témoin des préparatifs d'attentat de la filière jihadiste dite "des Buttes-Chaumont" , suspecte des attentats survenus en France en janvier 2015.
Il reprend pour ce faire le procédé si original et poétique déployé dans Acte de Dieu de l'enchaînement et du croisement des regards et points de vue. La vision d'une corneille a la même valeur que celle d'une petite fille, le Parc des Buttes-Chaumont comme le piège à corneilles deviennent des protagonistes à part entière. Selon Giacomo Nanni, le but de cette histoire n'est "pas seulement de raconter la violence d'un attentat terroriste, mais aussi d'évoquer la brutalité des faits par rapport à linvention littéraire et artistique" .
Comme d'habitude chez Nanni, cette évocation est d'une subtilité et d'une poésie rares.
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Un roman graphique à la Jane Austen, une histoire de destin implacable, servie par un graphisme étonnant.
Le temps passe dans le Comté de Nottinghamshire, les saisons se suivent et se pourchassent, comme celles de la vie. Avec la mort de la Comtesse, Clara hérite du domaine et sa soeur, à son grand dam, du patrimoine financier. Les soeurs se séparent. Clara abandonne ses beaux atours pour enfiler ceux du labeur, bien décidée à sauver le domaine qui tombe en décrépitude. Malgré ses sacrifices et ses efforts, elle est bientôt contrainte de vendre, de congédier les serviteurs, et d'abandonner sa grande passion, le clavecin...
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Le désormais bien connu Manuele Fior nous revient ici avec un recueil de dix histoires courtes.
Des tranchées de la Première Guerre mondiale à une Italie futuriste, en passant par Berlin ou Paris, dix historiettes aux portraits finement ciselés, qui confirment l'immense talent graphique et narratif de ce jeune Italien.
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« Les copains d'enfance tu ne les choisis pas ; ils te tombent dessus, s'emparent de toi comme une fièvre, et ils restent là même si tu leur bottes les fesses. oui, ils deviennent plus que des parents, plus que des frères, ils deviennent des amis. mais tu ne peux pas les choisir. ».
Six ans après État de veille, l'un des auteurs les plus passionnants de la bande dessinée italienne revient avec un roman graphique intime, intense et poignant, à la puissance graphique peu commune, où il évoque l'adolescence et le racisme ordinaire.
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Sur fond de football et de cinéma, une belle histoire de résistance dans le Brésil des années 1950.
São Paulo, Brésil, 1950.
Les préparatifs de la Coupe du monde de football battent leur plein, la première depuis la guerre. Vera et Luiz vivent des jours paisibles avec leur père Jorge, cheminot. Le jeune Luiz partage son temps entre l'école, le foot, le cinéma dont il raffole, et son ami Mario, un jeune boulanger émigré d'Italie au Brésil, comme bien d'autres depuis la fin de la guerre et la libération de l'Italie fasciste.
Mais un terrible accident vient bouleverser leurs vies : Jorge, le père, est renversé et tué par le déraillement d'un train. L'enquête révèle qu'un défaut d'entretien des rails est à l'origine de l'accident. En signe de protestation, les cheminots décident de cesser le travail, mais la société qui les emploie envoie des briseurs de grève réprimer violemment ce mouvement de contestation. De leur côté, les enfants de Jorge subissent intimidation et menaces...
Une histoire simple et belle de résistance et de lutte, du pauvre contre le riche, du faible contre le puissant. Andrea Campanella a réalisé là un scénario généreux et sensible, que la ligne claire d'Anthony Mazza sert à merveille. Un bel hommage aux films néoréalistes de l'époque...
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Kokoro, c'est la rencontre d'Igort avec quelques-uns des plus importants représentants de la culture japonaise, de Ryuichi Sakamoto (oscarisé pour la musique du Dernier Empereur de Bertolucci) à Katsuhiro Otomo (créateur d'Akira) en passant par Rumiko Takahashi (reine du manga). Un dialogue fluide et passionnnant sous forme de carnet de voyage entre des hommes et des femmes à la sensibilité à cheval entre Orient et Occident, au talent inspiré par les grands classiques et résolument tourné vers la modernité.
S'interrogeant sur les formes et le sens de la présence, dans la culture japonaise contemporaine, des esprits et des divinités traditionnels, des cérémonies et des rites ancestraux, Igort réalise là un véritable dictionnaire amoureux du Pays du Soleil levant. Et explore, au travers d'Ozu, Hokusai ou Tsuge, la musique secrète d'un Japon sublimé.
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Au sortir d'une rupture douloureuse, K. est poussé par son meilleur ami à rejoindre «Lovebug», un site de rencontres sur Internet. Il s'embarque donc à la recherche d'un nouvel amour.
Mais très vite, sa quête se transforme en frénésie sexuelle, faite de frissons bon marché et de stimulation incessante.
Perdu au milieu d'un océan de chair numérique, K. se découvre vite totalement dépendant de ces rencontres éclairs. Comme un enfant dans un magasin de friandises, il ne sait plus s'arrêter, tandis que Lovebug lui offre une sélection sans fin de compagnes éventuelles.
Peu à peu, K. va perdre son intégrité, ses amis, et même ses chances de rencontrer un amour véritable, tant l'addiction est devenue puissante.
à l'ère des rencontres numériques, se connecter et rencontrer une personne qui nous est totalement étrangère est devenu aussi facile que de commander un repas chinois. Les règles du jeu de l'amour ont changé - désormais déterminées par des photos de profil, des statistiques, des logiciels. Où s'en est donc allé le romantisme dans tout ça ? Comment la toile Internet a-t-elle affecté notre façon d'aimer ? Entre espoirs amoureux et intoxication numérique, Koren Shadmi nous donne ici, au fil des rencontres, quelques réponses, pleines d'humour, de sincérité et parfois, aussi, de cynisme.
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1975. Peter Bunjevac, Serbe nationaliste exilé au Canada, vit à Toronto avec sa femme et leurs trois enfants. Il appartient à une organisation anti-communiste qui milite pour l'indépendance de la Serbie. Sa femme, soupçonnant la nature de ses activités militantes et craignant pour la sécurité des enfants, le persuade de la laisser partir passer des vacances avec les enfants chez ses parents, en Yougoslavie. Peter accepte mais, méfiant quant aux intentions réelles de sa compagne, exige que leur fils aîné, Petey, alors âgé de 7 ans, reste avec lui au Canada. Terrible « choix de Sophie » auquel se trouve alors confrontée la mère: abandonner l'un de ses enfants pour mettre les deux autres en sécurité, ou bien risquer la vie des trois. Elle décide de partir avec ses filles. Ce qui devait être un voyage de quinze jours deviendra un séjour de quinze ans, la famille demeurera séparée à jamais.Fatherland est un roman graphique exceptionnel, aux confluents de L'Art de voler pour la manière virtuose dont l'auteur fait se croiser et se répondre son histoire personnelle et la Grande Histoire, de Fun Home pour l'autobiographie féminine éblouissante et sombre.
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Le 21 décembre 1913, le quotidien New York World publia dans son supplément dominical, « Fun», les premier mots croisés de l'Histoire. Qui eut cru que la naissance et l'histoire de ce passe-temps mondialement prisé, à la fois populaire et dont sont friands les plus grands intellectuels, fut si riche en rebondissements ?
Du New York du début du XIXe siècle au Milan d'aujourd'hui, Paolo Bacilieri nous en révèle les aventures et les petits secrets.
Mais c'est d'une manière bien personnelle que Bacilieri entend célébrer le centenaire de ce jeu universel. Partant à la recherche du secret des mots croisés, il nous propose une véritable intrigue policière, où l'on croisera un ex-agent secret de la CIA, fan de mots croisés, une cruciverbiste experte en contre-espionnage, ou encore l'écrivain - passionné de mots croisés - Georges Pérec.
Le mystère s'épaissit comme se compliquent les schémas de cases blanches et noires, toujours plus complexes, obligeant chacun à se creuser la cervelle.
Zeno Porno, le personnage fétiche et alter ego de Bacilieri, en arrivera à s'interroger : les mots croisés sont-ils bien d'inoffensifs passetemps, ou une forme plus subtile et secrète de résistance au règne toujours plus étendu de l'imbécillité ?
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Après Le voyageur, Koren Shadmi continue d'explorer la sciencefiction et raconte une histoire d'amour futuriste et impossible.
Victor, adolescent gentil et timide, essaie désespérément d'attirer l'attention de Patricia, sans grand succès. Mais celle-ci est victime d'un grave accident. À son retour à l'université, Patricia est métamorphosée : elle est désormais mi-femme, mi-robot. Mais Victor va rapidement constater que c'est bien plus que l'apparence de sa camarade qui a changé...
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Dans tous les domaines, les sciences, les arts, la politique, on rencontre des hommes et des femmes à l'existence surprenante, à la desti - née farfelue, aux inventions stupé - fiantes, dont la grande Histoire ne retient pas toujours les noms, qui ne gagnent pas forcément leur entrée dans les dictionnaires.
Simon Schwartz s'est attaché à 33 de ces personnages remarquables.
En une page, il résume l'essence d'une vie, l'ironie du hasard ou du destin.
Chacune de ces vies se voit traitée selon un style narratif et graphique qui lui est propre, correspondant au sujet, à l'époque. Comme un curri - culum vitae soigneusement rédigé, dessiné et composé de chacun de ces illustres inconnus ou excen - triques célèbres.
Ainsi, l'on apprendra des choses passionnantes sur Thomas Har - vey, l'homme qui a volé le cerveau d'Einstein, Joshua Norton, unique empereur autoproclamé des é tats- Unis, le génial et aveugle musi - cien Moondog, le joueur de blues Robert Johnson ou encore le fameux pétomane français Joseph Pujol.
Le résultat est à la fois envoûtant et drôle, et on peut naviguer dans ce bel album comme dans une déli - cieuse encyclopédie du bizarre. Qui offre un intéressant point de départ à cette réflexion : qu'est-ce que la normalité chez l'espèce humaine ?
Original et réjouissant.
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Dès la première page, on est frappé par la force du style de Nina Bunjevac : un noir et blanc expressif, réminiscences mêlées de l'expressionnisme d'un Robert Crumb et du pointillisme méticuleux d'un Drew Friedman. Peu de cases et beaucoup d'encre, d'où se dégage une atmosphère à nulle autre pareille. Les cinq contes qui constituent heartless sont noirs, cruels même, comme le revendique le titre, mais Nina Bunjevac réussit à dégager des réalités les plus dures et des situations les plus sordides, une poésie certaine et un humour franchement féroce et réjouissant. Dans cette galerie de personnages, volontiers grotesques, les femmes de Bunjevac, objectisées, maltraitées, souvent dociles souffrent, survivent, et prospèrent parfois, tandis que les hommes demeurent à l'arrière plan. Leurs émotions sont toujours au coeur du récit. Depuis cette perspective féminine, voire franchement féministe, Nina Bunjevac aborde de manière décalée les questions de l'immigration, du nationalisme ou de l'aliénation urbaine. On ressort frappé de ce livre à la voix unique, de ces histoires sombres et remuantes, comme d'un polar poisseux et terriblement attachant.
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Après le joli succès critique et public des deux volumes d'Abaddon, koren shadmi nous offre ici cinq courts récits dans la même veine. de quoi ravir tous ceux qui attendaient des nouvelles de cet auteur prometteur.
Omniprésence des fantasmes, poids du destin, ambiguïté des sentiments religieux, turpitudes des rapports amoureux. Pas de doute, aucun des thèmes chers à Koren Shadmi ne manque à ce nouvel opus.
Cinq contes, cinq histoires qui sont autant de petites tragédies ordinaires. Avec un humour parfois féroce, Shadmi met en scène des personnages aux amours contrariées, déçues, vouées à l'échec.
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Verdad a huit ans. Elle vit avec sa grand-mère dans un petit village des Pyrénées. De sa mère, elle sait peu de choses :
Essentiellement, qu'elle avait rejoint Monte Verità, en Suisse, sur les rives du Lac Majeur...
Sur fond de communauté anarchiste et de guerre d'Espagne, Lorena Canottiere dresse avec Verdad le portrait subtil d'une jeune femme obstinée, passionnée et éprise de justice et de liberté. Un personnage inoubliable, porté par un dessin puissant, très personnel et d'une grande poésie.
Où la petite histoire s'imbrique subtilement dans la grande.
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Joan Cornellà, le Barcelonais à l'humour noir, fait fureur sur le Web : plus de 3 millions d'abonnés sur Facebook, autant sur Tweeter.Il publie, pour la première fois en France, un album aux mines béates et aux couleurs chatoyantes, évoquant en creux une Espagne en crise. Avec un humour noir déviant pour marque de fabrique, Joan Cornellà propose ici des gags composés d'une seule page de six cases, déclinés toujours selon le même principe : anecdote apparemment absurde, sinistre destin. Cervelles brûlées, membres arrachés, mamies cocaïnomanes... Cornellà donne dans le politiquement incorrect, et ses personnages sont très vraisemblablement autant d'émanations monstrueuses d'une Europe tourmentée. Interviewé pour Libération il avoue : « Nous avons tous des limites, sans doute, mais je n'y pense pas tellement », préférant évoquer « un humour absurde », dont il se garde bien de dire qu'il est politique « même si c'est sans doute le cas ». Né en 1981, nourri à l'underground, d'abord dessinateur de presse satirique pour le magazine Jueves, « une sorte de Charlie Hebdo espagnol », Joan Cornellà a fourbi ses armes à la caricature. Le succès de ses strips trash le fait lorgner aujourd'hui du côté de l'animation.
Grand format 16.00 €Indisponible
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« Sérieux et espiègle, surréaliste et philosophique ». Voici comment Art Spiegelman décrit le travail de Matticchio.
Ses bandes dessinées et ses illustrations, drôles et énigmatiques, poétiques et fantastiques, sombres et souvent ironiques, ont valu à Matticchio de devenir un auteur culte.
L'un de ses personnages les plus célèbres est un chat au bandeau sur l'oeil, nommé Jones. Ses aventures surréalistes et captivantes - décrites par leur auteur comme à mi-chemin entre Walt Disney et Samuel Beckett - sont ici compilées pour la première fois, dans ce beau recueil de 256 pages intitulé Jones et autres rêves.
À la sortie du livre, une exposition inédite à la Galerie Martel !
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« Une femme qui réussit réussit pour toutes les autres ».
1955, côte adriatique.
C'est l'heure du miracle économique pour l'Italie, et les plages qui bordent l'hôtel Ariston accueillent un tourisme tout neuf.
De cet hôtel comme d'un théâtre, Ariston Hotel explore la scène et les coulisses. Au travers des vies, aventures, anecdotes des clients et du personnel, l'album égrène trois décennies et raconte, autour du personnage central de Renata, la propriétaire des lieux, une histoire de l'émancipation féminine.
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Steve Ditko, Jack Kirby, Wally Wood, Will Eisner, Richard Corben... autant de figures incontournables du comics qui ont contribué à forger l'univers de la bande dessinée mondiale et dont l'oeuvre, de génération en génération, continue d'habiter et d'alimenter les imaginaires.
Sergio Ponchione leur adresse avec Memorabilia une déclaration passionnée et nous raconte son quotidien, oscillant constamment et savamment entre réalité et rêve éveillé.
Une ôde à la bande dessinée qui en ravira tous les amateurs.
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Le somptueux coffret de la trilogie nippone d'Elisa Menini??! Contient Nippon Folklore, Nippon Yokai et Nippon Monogatari. Le cadeau idéal pour tous les amoureux du Japon, de belle image et de contes traditionnels.