Elle s'appelle Marguerite.
Elle va à la gare d'Orléans. Elle y travaille. Elle accueille les déportés, de retour d'Allemagne ou de Pologne. Ce n'est pas un hasard si elle y travaille. Son mari est rentré des camps. Depuis peu. C'est ce que nous décrit Marguerite Duras dans " La Douleur " ; c'est là où commence ce livre.